COMMENT
FAIRE POUR AUGMENTER LA FOI ?
Les causes d'augmentation de la foi (1 - 9)
1/ Apprendre la science religieuse. Allah
Le Très-Haut dit: « Parmi Ses
serviteurs, seuls les savants craignent Allah » (Le Créateur, v.28).
2/ Réciter le Coran avec
méditation et compréhension. Allah Le Très-Haut dit: « Certes
ce Coran guide vers la voie la plus droite »
a)
Lire quotidiennement un moins une page de Coran, avec méditation
et réflexion... En récitant le Coran quotidiennement,
tachez à en tirer le grand Bénéfice.
b)
Lisez
et relevez un point majeur pour la journée. Notez-le et souvenez-vous en
régulièrement pour lui donner sens dans vos actes.
3/ Dans la Vie, faites comme si vous êtes un
Voyageur (musulman). Tout est amené à changer sauf le lien avec Allah. Soyez
libéré des contraintes de l’habitude, des pressions des gens et des aléas de la
vie. Vous n’êtes pas là pour y rester. La Vie, pour vous, n’est qu’un parcours
menant vers la félicité réservée à ceux qui ont un seul souci, une seule
mission : Connaître Allah, être Son Destin sur terre.
4/ Connaitre les beaux Noms et
les excellents Attributs d'Allah, puis l'adorer en conséquence de cette
connaissance.
5/ Méditer sur la biographie
du Prophète saws. S’interroger
sur notre Prophète saws à chaque fois
que vous avez besoin de prendre une décision importante. Que feriez-vous s’il
était avec vous ? Que vous conseillerait-il ?
Etudier un petit livre sur la biographie du
prophète et ses compagnons...exemple « Le nectar cacheté » sur la
sirat ( la vie) du Prophète saws
6/ Méditer sur les biographies
des pieux prédécesseurs.
Lire sur la vie des femmes musulmanes au
temps du prophète et voir leur contribution à la vie sociale, leur comportement
faces aux situations...
7/ Méditer sur les avantages et mérites de la religion
musulmane. Etudier un peu sur la religion islamique et
renforcer sa connaissance sinon on reste toujours faibles de la foi et on
n'arrive pas à avancer dans notre vie...
Regarder quelques dars/cours de savants pieux
de juste milieu qui vous rappellent votre vocation de croyant avec une mission et un message...
8/ Méditer sur les signes manifestes de la
Création d'Allah. Chercher le lien entre le Coran et la
Science
En effet à
chaque fois que l'être humain observera les signes dans l’univers, qui sont des
créations, sa foi augmentera. Le Très-Haut a dit :
"Il
y a sur terre des preuves pour ceux qui croient avec certitude; ainsi qu’en
vous-mêmes. N’observez-vous donc pas ?" (Sourate 51 « qui éparpillent » versets 20
et 21)
Et les versets
prouvant cela sont nombreux.
9/ S'efforcer d'accomplir
beaucoup d'adorations, multiplier les bonnes œuvres: prière, aumône, don,
jeûne,
pèlerinage, 'omra, rappel d'Allah, demande de pardon, invocation, respect des
liens de parenté ...
Il faut garder à l’esprit que l’importance n’est pas dans l’abondance des œuvres mais dans la sincérité et la régularité.
Il faut garder à l’esprit que l’importance n’est pas dans l’abondance des œuvres mais dans la sincérité et la régularité.
Comme l’affirme l’imâm al Nawawî :
«
Celui qui pratique un dhikr régulièrement, de jour, de nuit, à la fin d'une
prière ou en quelque moment que ce soit, se doit de le rattraper s'il vient à
le manquer et à ne jamais le négliger, car s'il demeure fidèle à cette
pratique; il ne courra plus le risque de l'oublier. Sont rapportés à ce sujet
dans le recueil de Muslim ces propos de l'Envoyé d'Allâh saws transmis par 'Umar ibn al Khattab : "Celui qui
s'endort sans avoir récité son hizb ou n'en ayant lu qu'une partie, mais qui le
récite entre la prière du fajr et celle du dhuhr se le verra compter comme s'il
l'avait récité pendant la nuit. »
Il y a cependant quelques cas où il est recommandé à celui qui pratique le dhikr de l'interrompre momentanément : pour répondre à un salut, ou pour souhaiter "Allâh te fasse miséricorde" à quelqu'un qui éternue, lorsqu'il entend le muezzin, il doit répéter l'adhân après lui avant de reprendre son dhikr, pour interdire une mauvaise action, en recommander une bonne ou instruire celui qui l'interroge, etc.
Il y a cependant quelques cas où il est recommandé à celui qui pratique le dhikr de l'interrompre momentanément : pour répondre à un salut, ou pour souhaiter "Allâh te fasse miséricorde" à quelqu'un qui éternue, lorsqu'il entend le muezzin, il doit répéter l'adhân après lui avant de reprendre son dhikr, pour interdire une mauvaise action, en recommander une bonne ou instruire celui qui l'interroge, etc.
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